J’ai baisé mon Relatos Eróticos de voisin gilf

Par mk

J’ai baisé le beau de 60 ans qui vit en face de moi

Même si elle avait 60 ans, Kelly était encore chaude. Elle avait un gros estomac à l’estomac et un cul incroyable. Elle se détendait généralement dans sa cour avant en face de ma maison. Elle portait également toujours une robe de nuit avec seulement sa lingerie en dessous. Je pouvais la voir parfaitement depuis la fenêtre de ma chambre et comme un adolescent habituel, je le serais branlé quand je l’ai vue. Parfois, sa robe s’ouvrait et elle ne remarquerait pas. Cela m’a tellement excité et m’a fait jouir si vite.
Un jour, quand je me brisais, j’ai fermé les yeux en m’imaginant baiser ses seins avec ma bite de 6 pouces. Quand j’ai ouvert les yeux, elle me regardait juste avec une expression choquée sur son visage. Nos yeux se verrouillaient et je suis venu. J’ai rapidement abaissé mais il était trop tard. Elle m’avait déjà vu. Elle est venue marcher sur la rue et a sonné la cloche de la porte. Heureusement, j’étais seul à la maison pour que ma famille n’aurait pas de troupe. J’ai ouvert la porte avec seulement mes boxeurs. Elle a fait irruption dans la maison et a commencé à me donner des conférences sur ce que j’ai fait était mal. Mais alors qu’elle me grondait, sa robe était encore défaite. Je regardais son décolleté et ma bite est devenue dure comme un rocher. Elle a vu la tente sur mes boxeurs et a dit «êtes-vous sérieux, je vous ai juste dit que c’était faux». Je ne me souciais pas de ce qu’elle a dit et j’ai instantanément tiré son soutien-gorge et j’ai sucé ses mamelons. Il a essayé de me pousser mais j’ai laté et lui a bossé la jambe. Je pouvais dire qu’elle commençait à être excitée parce que ses mamelons sont devenus durs et elle a cessé de résister. Elle a finalement cédé et a dit que je pouvais la baiser. J’étais sorti parce que je n’avais jamais baisé de vraies femmes auparavant, juste mon cousin de 8 ans. Elle a dit que je devais suivre ses règles. La première règle était d’attendre une heure puis d’aller chez elle en face de la rue. J’ai attendu patiemment une heure et j’ai boulonné chez elle quand c’était finalement fini. J’ai frappé avec impatience à la porte et j’ai attendu qu’elle l’ouvre

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