J’ai besoin d’être battu et violé une Relatos Eróticos

J’étais un bien normal tous les jours fille saine. Jusqu’à cette nuit quand j’ai été violée. Maintenant, je suis une sale fille qui aspire à la violence et au viol.

Je rentrais chez moi de Dance Glass, il faisait sombre dehors parce que je devais rester un peu plus tard que la normale pour terminer notre routine, nous avions un grand spectacle à faire à l’école dans quelques semaines.

Salut, je suis Sara et j’ai 12 ans, j’avais 11 ans quand c’est arrivé la première fois.

J’ai marché avec mon amie jusqu’à ce que nous nous approchons de sa maison, puis nous avons dit au revoir et elle a couru à la maison, je me suis retrouvé à marcher jusqu’à un demi-mille à la maison par moi-même, j’ai suivi la route où tous les réverbères sont et que la circulation peut me voir, tu sais que vous vous sentez plus en sécurité en sachant que les autres sont là.

Ensuite, je me suis approché des magasins près de chez moi, les magasins étaient fermés, la plupart des réverbères étaient à cause du vandalisme et il n’y avait personne autour, c’était une chose stupide à faire mais il était tard et j’étais fatigué de danser tout nuit, j’ai donc décidé d’aller de l’avant et de marcher dans les magasins parce que c’était le plus court à la maison.

Je suis venu au coin de la rue après avoir été effrayé par un chat miau près de mon visage, «Si tu crie, je te tuerai.«Il grogna contre moi.

Puis il m’a traîné à l’arrière des magasins hors de vue et m’a poussé au sol par les bacs malodorants et il s’est assis sur mes jambes, j’avais tellement peur que je ne pouvais pas bouger, il a attrapé mon sac et l’a jeté de côté, Puis il a lentement déplacé le couteau sur mon visage, le long de mon cou, le long de ma poitrine, puis il a mis la lame sous mon haut et l’ouvrir de bas en bas.

Il a éloigné les côtés de mon haut séparé, exposant mon haut du corps nu, je n’avais pas encore vraiment de seins, mais cela ne l’a pas empêché de me toucher là-bas, il a utilisé le haut et le haut déchiré pour façonner un bandeau et un bandeau et Je l’ai attaché autour de ma tête et en fourrant le tissu à gauche dans ma bouche pour que je ne puisse pas crier.

Puis je l’ai senti tirer mes joggeurs et mes culottes et je savais ce qu’il allait faire, je le sentis pousser quelque chose de long et dur entre mes jambes, je l’ai senti entrer dans mon corps et ça faisait vraiment mal, j’ai crié mais même moi pouvait à peine l’entendre avec ma chemise fourrée dans ma bouche.

Il m’a violé violemment sur le sol sale froid, il s’est allongé sur moi me mordant le cou, et il a dû avoir le couteau dans sa main pendant qu’il mettait mes jambes parce qu’elle m’a coupé les jambes plusieurs fois.

Je ne pouvais pas voir sa bite mais je l’ai ressenti, je pouvais sentir sa taille et sa forme alors qu’il la poussait dans ma chatte rapidement et dure, elle n’a probablement duré que quelques minutes mais c’était beaucoup plus longtemps, puis je l’ai senti venir en moi et il a sorti sa bite.

Mes jambes sont tombées sur le sol et tout s’est calme et s’est arrêté.

Quelques minutes plus tard, j’ai eu le courage de retirer le tissu de ma bouche et de retirer le bandeau, le garçon était parti, me laissant allongé sur le sol avec mes vêtements déchiquetés, les bas autour de mes chevilles et du sang et du sperme qui s’échappent entre mes jambes.

J’ai rampé contre le mur derrière les poubelles et je suis resté là-bas pendant un petit moment, puis j’ai eu mon sac, ce que je savais que j’avais mon uniforme scolaire et je l’ai mis et je suis rentré chez moi dans la douleur.

Quand je suis arrivé à ma porte d’entrée, j’étais prêt à courir à l’intérieur pour la sécurité et à dire à mes parents ce qui m’était arrivé, mais ensuite j’ai eu peur, craignant de me blâmer, dis que c’était ma faute et si les enfants à l’école l’ont découvert Ils se moqueraient de moi et des trucs, je ne voulais pas ça, alors à la place, je courais rapidement à l’intérieur et je suis droit dans les escaliers de ma chambre, et je me suis juste nettoyé et je me suis endormi.

J’avais des ecchymoses sur mon visage le matin, je viens de dire à ma mère l’une des autres filles en cours de danse m’a accidentellement donné un coup de pied au visage pendant l’entraînement, elle m’a cru et m’a dit d’être plus prudent.

Dans les nuits qui ont suivi, j’ai commencé à avoir des rêves de ce qui s’était passé, et je me réveillais à bout de souffle et couvert de sueur, mais j’ai rapidement réalisé que c’était de la terreur ou de la peur, j’appréciais les rêves d’être violés, je respirais fortement et transpirant parce que je me faisais exciter par les rêves.

J’ai commencé à me masturber, à me doigter tous les soirs, et même à prendre des épingles à coudre et à les coller dans des parties de mon corps juste pour simuler la douleur que je ressentais de cette nuit maintenant mon corps l’avait encore envie.

Après avoir passé une semaine, tous les soirs, par les magasins dans l’obscurité, se cachant de l’autre côté de l’endroit où cela s’est produit et espérant revoir ce garçon à capuchon en espérant qu’il me reverrait et me violer, il ne s’est jamais présenté.

Je lui ai donné un dernier essai, le week-end, je me suis faufilé hors de la maison près de minuit et j’ai attendu par les magasins dans l’obscurité, mais il n’est jamais venu, alors que je rentrais chez moi déçu, j’ai passé quelques hommes ivres trébuchant vers moi , ils m’ont chahuté, alors je les ai taquin.

Ensuite, je me suis moqué d’eux, leur disant qu’ils avaient probablement de petites bites et ne sauraient pas quoi faire avec eux, essayant généralement de les énerver et de les mettre en colère, cela a fonctionné, l’un d’eux m’a giflé sur le visage en me faisant tomber pour le sol, «Putain de petite salope.«Il m’a crié dessus.

«Je parie que tu ne pourrais pas me baiser même si tu veux aussi. Je parie que vos bites aussi grandes qu’une tête d’épingle.» J’ai dit.

Cela semblait le faire chier et cela m’a fait ce que je voulais, il est monté sur moi et m’a encore giflé, il m’a épinglé et a déchiré ma chemise et a léché mon visage et mon coffre, quand il m’a embrassé tout ce que je pouvais goûter était bière et vomir.

Il a tiré mes bas et mes culottes vers le bas pendant que son ami épinglait mes bras de l’autre côté, puis il m’a violé, quand il avait fini, il a changé avec son ami et il m’a ensuite violé, j’ai réussi à se mordre la main à un moment donné Ce qui l’a fait me frapper au visage et il m’a cassé les yeux, c’était la chose la plus douloureuse qui m’arrivait, mais je l’ai toujours apprécié.

Quand il a fini, il a vomi sur moi et ils sont partis tous les deux.

Il y a seulement un an, cela s’est produit, et depuis lors, j’ai continué à sortir délibérément à la recherche de problèmes, à la recherche de violeurs potentiels parce que je veux être violée, je veux être battu, je veux être abusé par des hommes.

J’en ai besoin, je le veux, je l’apprécie.

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